Le professeur Vincent Courtillot, de l'Académie des sciences, n'est pas climatologue, mais géologue physicien, doté d'un CV académique très étoffé. Il a été amené à s'intéresser presque incidemment aux données du climat, car géologie et paléo-climatologie se rejoignent parfois. Sa qualité scientifique lui a permis de se mettre assez rapidement à niveau !
Dans cette vidéo, avec une clarté pédagogique et une brillance orale qui n'exclut pas la rigueur scientifique, M. Courtillot étrille littéralement la "science" contenue dans les rapports du Giec.
Une personne de bonne foi ne peut pas ne pas être absolument convaincue que les conclusions du GIEC, induisant une relation majeure de cause à effet entre CO2 et températures terrestres, sont très fortement entachées d'erreurs graves après avoir vu cela.
De l'observation aux processus et aux modèles en sciences de la Terre : l'exemple des évolutions climatiques récentes.
Voici la question qui me guide dans mes recherches...
The penalty that good men pay for not being interested in politics is to be governed by men worse than themselves. - Plato
dimanche 29 novembre 2009
Conférence de Vincent Courtillot - Les erreurs du GIEC.
samedi 28 novembre 2009
The climate debate from Australia.
Andrew Bolt on exposed climate change emails: Source
Andrew Bolt from the Herald Sun talks to Alan Jones (Listen) about the ETS vote and emails exposing the dubious science behind climate change.
Great commentary from Ian Plimer on climate change and responding to critics on his book Heaven and Earth — Global Warming: The Missing Science..
Here’s a YouTube video being circulated in Australia: (Source)
mercredi 25 novembre 2009
New Zealand Global Warming data modified to show warming
Once again, data modified to show global warming where none exist.
Source PDF Story showed here and here.
Modified data - large warmingUnmodified data - no warming
The men who modified this data to show warming was working at the CRU at the time. So why the Hadley Climate Research Unit modified the data to show warming where none exist?
Does this mean that global warming does not exist at all?
dimanche 22 novembre 2009
The impact of attaching Wind and Solar to the power grid
Here's an interesting article in the New York Times by MATTHEW L. WALD about the impact of making renewable, reliable. As may may not know, the biggest hurdle with renewable is the reliability of the power output. When the wind does not blow or when the sun does not shine, you have to compensate with a more stable source of energy.
Here are some excerpt from the article.
Managers here discuss new tools, like Doppler radar on remote hilltops to detect the speed of the wind hitting the windmill blades and to forecast what it will be in 15 or 30 minutes, so natural gas plants can be started in time to meet demand when the wind stops, or shut down before the gusts come through and overload the system.
Managers also explore how they might forecast haze and dust, which change the output of solar cells. They worry about rogue clouds that will disrupt solar fields. They talk about batteries of an unprecedented scale that will go from fully charging to fully discharging in one second, to smooth out the herky-jerky output of mammoth new renewable developments.
The grid experts are often reticent about their concerns, because when they speak up, “we get perceived as we are not supportive of renewables”Those grid operators live in the real world and need to provide for real, constant power. One thing that the "green" energy does not provide. What is the cost of all this. What is the backup power when the wind does not blow or when the solar panels do not work because of clouds? Fossil fuels mostly in the form of natural gas. No wonder those providing natural gas like to see more "green' energy deploy, because they understand perfectly that those fields of solar and wind provide power 25% of the time in average.
The public may expect that with a proliferation of solar panels and wind machines, companies will shut plants that run on coal and natural gas. But all of it will be needed if the system is to remain stable and ride through periods of low wind.So when the "greens" push those "green" energies, they do not put those need in the equations. Doing so, would mean it would be impossible to sell it to the public.
samedi 21 novembre 2009
Steven Guilbeault a tout le monde en parle
Voici quelques observation du passage de M. Guilbeault à tout le monde en parle. Simplement pour mettre un peux de réalisme et gros bon sens dans le discours.
Il commence d'entré de jeux avec "Nous vivons à l'heure des changements climatiques"
Est-ce que l'humanité ne pas vécu à l'heure des changements climatique depuis le début des temps? Nous devons simplement regarder ce graphique des dernier 5000 ans ou celui-ci depuis les années 1960 pour nous rendre compte que le climat change et c'est normal. Nous avons su nous adapter et survivre à des périodes plus froides et plus chaudes que nous vivons aujourd'hui.
L'animateur, M. Lepage cite les auteurs du prochain protocole qui sera présenté à Copenhague et indique que le Canada propose une cible de réduction de 3% pendant que les scientifiques propose des cible de 25% à 40%. Pour éviter la catastrophe climatique.
J'ai déjà indiqué que les cibles proposées sont pour l'année 2020 et le pourcentage est une réduction absolue des émissions sous les niveaux de 1990. Donc 40% de réduction sous les niveaux de 1990. Actuellement nous produisons au niveau planétaire, 0.117% du CO2 qui participe à l'effet de serre. Le restant du 99,883% est de source naturelle. De plus, les preuves que le CO2 est la source des changements climatiques est de plus en plus remise en questions. Vous avez seulement qu'à regarder le lien entre la température moyenne du globe et le CO2 pour bien voir que la corrélation de tien pas la route.
Ensuite M. Guilbeault nous parle de Steven Harper et de ses positions sur les changements climatiques et comment les environnementalistes prennent le contrôle de nos institutions internationales.
Si les réductions proposées sont impossible à rencontrer. Si ces réductions même si mise en place, n'auront aucun effets ou un effet non mesurable sur la température moyenne du globe. Si ces cibles contraignantes, vont couter à nos économies, des montants astronomiques, il est clair qu'un gouvernement qui protège son peuple, se doit d'être sceptique et prudent.
Pour ce qui est du contrôle des institutions climatique, du contrôle des verts et du contrôle de certains chercheurs et groupe, sur nos gouvernements et institutions démocratique. Ceci est bien réel malheureusement. Je vous invite à lire cet article dans le Telegraph de Londre et celui ci de L'American Thinker. Ca nous montre très bien l'étendu du problème. Si ceci ne vous convint pas, écouter ces vidéos.
M. Guilbeault: En 1997 on ne savait pas que l'on vivait à l'heure des changements climatiques?
Sérieusement, les études sur le climats datent de très longtemps... Même que dans les années 1970, nous pensions que le CO2 serait responsable de la prochaine glaciation!!!
M. Guilbeault: Tout le monde doit mettre l'épaule à la roue, tout les grands pollueurs de la planète...
Voici une des conceptions fausse la plus répandue. L'association entre CO2 et pollutions. Le CO2 N'EST PAS UN POLLUANT... La pollutions industriel causé par différents procédé, la combustion d'énergies fossiles est bien connue. Une réduction du CO2, ne réduira pas nécessairement la production de polluants. Ceci en partie parce que les bourses de carbones et autre plans, vont permettre les industries de continuer de bruler des énergies fossiles en payant des taxes caché...
M. Guilbeault: C'est possible de faire progresser nos économies tout en protégeant notre environnement. En investissant dans les énergies "verte".
Ici je suis en accord avec le fait qu'il est possible d'avoir des économies prospère tout en protégeant l'environnement. J'ai documenté les solutions sur mon blog régulièrement. Mais ou je suis en désaccord, c'est le comment. Les énergies vertes, tel le solaire et l'éolien, ne sont pas des solutions qui permettrons à nos sociétés de progressé et de consommer moins d'énergie fossiles. Au contraire, nous allons augmenter notre consommation de pétrole et charbon pour construire les millions de panneaux solaire et d'éolienne nécessaire pour remplacer toutes les centrales aux charbons de la planète. Pour une démonstration de ceci et pour des solutions durables et réelles, je vous invite à regarder la conférence du 11 mars 2009 des Bâtisseurs de nations.
Malheureusement, toutes ces publicités et actions, ne changeront pas le fait que l'humain à très peut d'influence sur le climat. Toutes ces actions ne changeront pas le climat de façons mesurables.
Lire cet article qui parle du sujet plus en profondeur.
Quelque fois la réalité est plus complexe que certaine illusions diffusé par les médias.
Mise à jour: LE GIEC a des chiffres sur la concentration de CO2 de source naturel vs humaine.