Voici la question qui me guide dans mes recherches...

L’appât du gain manifesté par les entreprises supranationales et certains groupes oligarchiques, de même que le contrôle des ressources naturelles par ceux-ci, dirigent l’humanité vers un nouvel ordre mondial de type féodal, voir même sa perte. Confronté à cette situation, l’être humain est invité à refuser d’accepter d’emblée une pseudo-vérité véhiculée par des médias peut-être à la solde de ces entreprises et groupes. Au contraire, il est invité à s’engager dans un processus de discernement et conscientisation afin de créer sa propre vérité par la confrontation de sa réalité nécessairement subjective à des données objectives, telles que révélées par la science, par exemple.

The penalty that good men pay for not being interested in politics is to be governed by men worse than themselves. - Plato

dimanche 15 novembre 2009

Is the debate on climate change like a religion?

I started reading the new book of Dan Brown, The Lost Symbol. In the book, he asks if the Masons can be compared to religion. To do this, he asks:

What are the three prerequisites for an ideology to be considered a religion?

  • A. Religions Assure salvation
  • B. Religions Believe in a precise theology
  • C. Religions Convert nonbelievers
When you compare this to the ecologic view on climate change, you have
  • A. Assure salvation
By following the doctrine, we will save the earth and ourselves of the doom caused by CO2 in the theology of climate change. This is the feel good feeling, buying indulgence. The goal here is to make you feel guilty and by this method, forcing you to buy indulgence and assuring your salvation.
  • B. Believe in a precise theology
This one is easy, anthropogenic CO2 is the main cause of climate change. Hockey stick theory, etc.. You have to stick with the story here, even if it as been proven false. You can bend it a little bit, like saying CO2 will cause warming, cooling, droughts and flood.
  • C. Convert nonbelievers
What are the ecologist and environmentalist are doing day in and day out is to convert you, nonbelievers by any means necessary that this theology is true. We see this with science-fiction scary movie like "An Inconvenient truth".
So it is easy to prove that the climate change talks is becoming like a religion. I have documented on this blog many aspect of this case. I will not repeat my self, but simply invite you to keep reading what I already published.

samedi 14 novembre 2009

Que nous demande l'entente de Copenhange - Chiffres pour le Québec

Nos gouvernements vont aller négocier des réductions de gaz à effet de serre à Copenhague en décembre 2009. Quelles sont exactement les demandes de ce protocole ?

En voici une: Source

Annex I Parties (pays développés) collectively, whether or not Parties to the Kyoto Protocol, must reduce their emissions by at least 45 per cent below 1990 levels by 2020 and by more than 95 per cent below their 1990 levels by 2050
En 1990, tous les secteurs d'activités au Québec produisaient 56 964 milliers de tonnes de CO2. Une réduction de 45% sous le niveau de 1990 serait de revenir à un niveau de production de 31 330 tonnes de CO2.

Les derniers chiffres de statistique Québec pour notre consommation d'énergie en 2006 sont:
41 042,9 milliers de tonnes équivalent pétrole (TEP) réparties en secteur, ça nous donne en %:
  • Électricité : 40,4%
  • Pétrole : 36,8%
  • Gaz naturel : 12,6%
  • Biomasse : 9,4%
  • Charbon: 0.9%
Étant donnée qu'environ 0,7% seulement de notre énergie électrique provient de l'énergie thermique, nous pouvons considérer que nos émissions de CO2 sont majoritairement des sources d'énergies fossiles utilisées dans les secteurs autre que la production d'électricité.

Donc l'addition des sources de pétrole, gaz naturel, biomasse et charbon, nous donne environ 60%. 60% de notre énergie (2006) provient de sources qui produisent du CO2. Pour simplifier les calculs, j'assume que nous devons diminuer de 45%, 60% de notre énergie consommée (2006).

Il est difficile de trouver tous les chiffres aux bonnes années, mais si nous prenons les chiffres de 1990 pour notre production de CO2 = 56964 milliers de tonnes, que nous devons diminuer de 45%, ça veut dire que nous devons consommer 45% moins d'énergie fossiles avant 2020 (10 ans) et 90% de moins avant 2050 (40 ans). Les diminutions seraient sous forme de pétrole et affecteraient tous les secteurs d'activité du Québec.

Comment allons nous en 10 ans réussir à diminuer de 45% notre consommation de pétrole? Pour la majorité des gens, la consommation de pétrole provient du transport 25%. Les industries 40% devront aussi diminuer leurs consommations de 45%.

Voici quelques exemples des réductions demandées:
  • 45% des autos du Québec devront être électrique à 100% en 10 ans ou simplement disparaitre.
  • 45% du transport routier devra disparaitre ou utiliser des modes de transports sans pétrole.
  • 40% de l'énergie consommée provient des industries, 60% de ce 40% provient de sources qui produisent du CO2. Donc 24% de réduction des industries seront nécessaires.
Qu'est ce que ça nous demande?
  • Est-ce possible d'ici 10 ans d'avoir presque la moitié du parc automobile transformé en autos électriques?
  • Est-ce possible d'avoir d'ici 10 ans, des transports en commun électriques, efficaces, plus rapides que l'auto pour diminuer l'utilisation de l'auto et diminuer le transport des marchandises?
  • Est-ce possible de diminuer la consommation des industries en énergies fossiles de 45% d'ici 10 ans.
Je doute fortement que le Québec soit en mesure de diminuer autant ses émissions de CO2 d'ici 10 ans et encore moins de 90% d'ici 40 ans. Ceci demanderais une révolution dans nos systèmes de transport (voiture électrique), une révolution dans les transports en communs (trains à haute vitesse électriques), un changement dramatique de nos politiques monétaires envers les investissements d'infrastructures et de transport. Le Québec est très bien placé, à cause de notre hydroélectricité qui produit très peu de CO2. Les autres provinces comme l'Ontario qui ont 5 grosses centrales au charbon, ont un défi encore plus grand.

Quel sont les impacts si nous ne rencontrons pas nos cibles de réductions? Nous avons simplement à chercher ces mots clés dans le texte du protocole proposé, "non compliance". Voici quelques exemples:
[lead to the application of penalties for non-compliance, including increased future reduction commitments by an amount calculated as a multiple of the shortfall in implementation and financial contributions as penalties or fines and paid into an enhanced financial mechanism monetary penalties to be paid to the Adaptation Fund)] [taking into account experiences gained from relevant international agreements].]

[lead to the application of penalties for non-compliance, including [increased future reduction commitments by an amount calculated as a multiple of the shortfall in implementation [and] [as well as ] financial contributions as penalties [10 times to the market price of one tonne of carbon and ] [or] fines [and] paid into [an enhanced] [the Convention] financial mechanism][monetary penalties to be paid to the Adaptation Fund][a mechanism that establishes clear and direct consequences for noncompliance].]]]
Comme vous voyez, si nous signons ce protocole, qui est pratiquement impossible à rencontrer, nous allons devoir payer des pénalités en argent et/ou augmenter encore plus nos cibles de réduction qui seront encore plus impossible à rencontrer et par le fait même, allons payer encore plus d'argent. C'est de la pure folie!

De plus, il n'y a aucune preuve que le maigre 0,117% de CO2 anthropogénique contribuant à l'effet de serre, que l'humanité produit ait aucun effet sur la température.

Allons nous contraindre nos sociétés à signer une entente qui va seulement nous coûter de l'argent, détruire notre économie et diminuer notre croissance, ceci avec un impact non-mesurable sur le climat?

J'ai documenté dans ce blog à plusieurs reprise que le lien entre le CO2 et le climat n'est pas aussi direct qu'on veut nous le faire croire.

A qui va profiter toutes ces restrictions?
  • Al Gore et ses compagnies d'énergies "vertes" ?
  • Wall street qui spéculera sur les bourses de carbones ?
Tout ceci n'est pas nécessaire. C'est seulement une recherche de pouvoir, un contrôle sur nos libertés par des groupes qui veulent faire des profits à n'importe quel prix.

Au lieu de perdre du temps et énergie dans des projets inutiles, nos sociétés devraient investir argent et ressources dans:
  1. Plus de centrales nucléaires maintenant pour éliminer les énergies fossiles, maintenant!
  2. Des usines de dessalement de l'eau de mer basées sur ces centrales nucléaires.
  3. Diminuer ou éliminer la génération d'électricité basée sur les énergies fossiles.
  4. Augmenter la recherche et le développement des autos électriques et hybride
  5. Développer des moyens de transport en commun rapides, plus rapides que l'auto. Seul façon de convaincre les gens d'utiliser moins leurs autos.
  6. Garder au minimum les énergies intermittentes et moins dense, tel que l'éolien et le solaire.
  7. Plus de recherche sur le nucléaire et le thorium.
  8. Plus de recherche sur les condensateurs à nanotube de carbone, pour remplacer les batteries dans les voitures électriques du futur.
  9. Plus de recherche et investissement sur la pyrolyse des déchets pour le recyclage à 100% de nos déchets.
Aucun protocole international est nécessaire pour atteindre ces buts. Tout ces buts, si rencontrés, élimineraient la majorité de problèmes actuel de notre monde, tout en augmentant nos force économiques et démographiques.

Les Américains aussi sont contre ce traité comme le montre ce document.

mercredi 11 novembre 2009

Some news and research on "green" energy

I stumble across those articles and blogs about "green" energy you may find interesting. In the end, you cannot hide the truth. If the Energy density is lower than the best technologies we have, like nuclear, it is not worth pursuing.

Economic impacts from the promotion of renewable energies: the German experience

In the end, Germany’s PV promotion has become a subsidization regime that, on a per-worker basis, has reached a level that far exceeds average wages, with per-worker subsidies as high as 175,000 € (US $ 240,000).
Although Germany’s promotion of renewable energies is commonly portrayed in the media as setting a “shining example in providing a harvest for the world” (The Guardian 2007), we would instead regard the country’s experience as a cautionary tale of massively expensive environmental and energy policy that is devoid of economic and environmental benefits.

Wind Tax Windfalls, Nuclear Tax Burdens
How favorably short depreciation schedules for wind have created a “gold mine” for investors, virtually independent of how much electricity the wind turbines produce.

Listen to the podcast here:








Michael Trebilcock - "Wind power is a complete disaster"
Industrial wind power is not a viable economic alternative to other energy conservation options. Again, the Danish experience is instructive. Its electricity generation costs are the highest in Europe (15¢/kwh compared to Ontario's current rate of about 6¢).

mardi 10 novembre 2009

How much CO2 we produce contribute to "Climate Change"?

This web site did the calculation and the answer is a mere 0.117%. So any cut we will do by a small percentage, will have no measurable effect on the temperature over hundreds of years.

This is on top of the fact that the link between CO2 and temperature is not proven. There are other factors that influence more the climate than CO2.

So I ask again, why are we still talking about CO2 as the big crisis?