Voici la question qui me guide dans mes recherches...

L’appât du gain manifesté par les entreprises supranationales et certains groupes oligarchiques, de même que le contrôle des ressources naturelles par ceux-ci, dirigent l’humanité vers un nouvel ordre mondial de type féodal, voir même sa perte. Confronté à cette situation, l’être humain est invité à refuser d’accepter d’emblée une pseudo-vérité véhiculée par des médias peut-être à la solde de ces entreprises et groupes. Au contraire, il est invité à s’engager dans un processus de discernement et conscientisation afin de créer sa propre vérité par la confrontation de sa réalité nécessairement subjective à des données objectives, telles que révélées par la science, par exemple.

The penalty that good men pay for not being interested in politics is to be governed by men worse than themselves. - Plato

dimanche 28 novembre 2010

Congrès de circonscription et Assemblée générale annuelle de Prévost

Bonjour,

Aujourd’hui se tient l'assemblée générale annuelle de Prévost.

Suivre ce lien pour l'ordre du jour

Nous allons proposer les propositions d’amendements suivant au programme du parti québécois:
  1. Pyrolyse des déchets
    1. Recyclage à 100 % de tous les déchets. Plus d'information ici.
  2. Transport en commun rapide avec savoir-faire québécois
    1. Plus d'information ici
  3. Banque du Québec pour financer ces projets d'infrastructures.
    1. Plus d'information ici
Vous êtes les bienvenus pour appuyer ces projets et participer à notre réussite collective.

Merci,

Simon Filiatrault




samedi 20 novembre 2010

Richard Lindzen presentation on climate change

The House Subcommittee on Energy and Environment heard from a dozen witnesses about how the public and private sectors are approaching climate change. Washington, DC : 3 hr. 46 min.


Very interesting debate on the two side of the issue.

Click here to open the player.



Full presentation in PDF of Doctor Richard Lindzen

jeudi 18 novembre 2010

Nouveau concept de monorail pour un transport rapide



Source:


Le petit bout de film que montre Pierre Langlois fait rêver. On y aperçoit une structure discrète de monorail longeant l'autoroute 40, entre Québec et Montréal. Des cabines de 60 passagers y glissent à la vitesse vertigineuse de 250 kilomètres à l'heure.

Chaque cabine est alimentée par 16 moteurs-roues, une invention de Pierre Couture que l'on connaît mieux pour sa création du moteur-roue d'Hydro-Québec.

Ce moyen de transport n'est pas sujet aux aléas du climat. Pas besoin de le déneiger puisque les moteurs-roues sont complètement recouverts. Le ventre des cabines flotte à 10 mètres du sol, au-dessus de tout obstacle.

Le physicien et conférencier Pierre Langlois a déjà pris le TGV en France, où il a habité pendant quelques années. Il reconnaît qu'il a adoré son expérience. Lorsqu'il est question d'importer cette technologie au Québec, toutefois, le scientifique en lui fait un très, très long pas en arrière.
«Il y a eu deux ou trois centimètres de neige en France, cet hiver et c'était la panique pour le TGV. Imaginez une bordée de 50 centimètres», plaide-t-il.

C'est que le train à grande vitesse, comme son nom l'indique, roule rapidement, soit 360 kilomètres à l'heure. Mieux vaut n'avoir aucun obstacle sur les rails.
Mais c'est loin d'être là le seul argument qui fait pencher Pierre Langlois en faveur du monorail de Pierre Couture.

De passage au Collège Laflèche, hier, dans le cadre des Grandes rencontres, où il est venu expliquer l'importance de libérer la civilisation de sa dépendance au pétrole, le physicien et auteur y est allé de comparaisons étonnantes entre les deux technologies.

Un monorail roule certes moins vite qu'un TGV, soit 250 km/h au lieu de 360. Toutefois, explique-t-il, le monorail, grâce à ses 16 moteurs-roues, prend à peine 20 secondes pour atteindre sa vitesse de croisière et guère plus pour se mettre en arrêt à destination. Le TGV, lui, pendra 8 minutes pour atteindre ses 360 km/h et tout autant pour s'arrêter.

Au bout du compte, ces 16 minutes d'accélération et de décélération font en sorte que seulement 4 petites minutes séparent le monorail du TGV pour parcourir la distance Québec-Montréal. «Et si l'on arrête à Trois-Rivières, le monorail arrivera bien avant le TGV», renchérit M. Langlois.

Avec un monorail, ajoute-t-il, pas besoin de couper le paysage en deux. Grâce à des pylônes à tous les 60 mètres, le monorail peut franchir tous les obstacles: routes, rivières, viaducs.
La superficie des terrains à exproprier pour installer les pylônes ne représente qu'une fraction des expropriations qu'il faudrait imposer avec le TGV, fait-il remarquer.
Contrairement au TGV dont le trajet se limite à une ligne droite entre les deux villes, le monorail possède une souplesse extraordinaire. Il pourrait facilement s'amarrer sur les côtés d'un pont pour aller desservir l'autre rive.

La cerise sur la gâteau, c'est le coût de construction. Au Québec, l'implantation d'un TGV se chiffre à 28 millions $ du kilomètre, rapporte le conférencier. Pour le monorail, il en coûterait à peine 8 millions $ du kilomètre. «C'est donc 2 milliards $ de dollars pour le monorail contre 7 milliards pour le TGV», fait valoir M. Langlois. Presque 4 fois moins cher.

dimanche 14 novembre 2010

E-voting without fraud

David Bismark demos a new system for voting that contains a simple, verifiable way to prevent fraud and miscounting -- while keeping each person's vote secret. Can this be a good solution?

Le jour du souvenir, se souvenir de quoi

Une interview avec Pascal Lacoste, un vétéran de l'armée canadienne, la facon dont l'armé l'a abandonné et son combat contre les effets post traumatique de la guerre.



Quelque discussion sur le sujet sur le blogue de Jean-François Lisée:
http://www2.lactualite.com/jean-francois-lisee/jour-du-souvenir-le-calvaire-du-jeune-veteran-lacoste/6010

http://en.wikipedia.org/wiki/White_poppy_(symbol)






Plus d'information sur l'utilisation de l'uranium appauvrie source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Uranium_appauvri

Actions des munitions à l'uranium appauvri [modifier]

Obus-flèche perforant américain M829 ; la flèche(en blanc) est composée d’un alliage d’uranium.

Action mécanique [modifier]

La densité élevée de l'uranium en fait un matériau de fabrication d’obus antichar, et notamment dans les « obus-flèches » utilisés lors de la première guerre du Golfe, la guerre du Kosovo ainsi que durant les premières phases de la guerre en Irak (2003-2005).
Dans le cas d'un obus d’artillerie le « pénétrateur » est une barre filetée longue d'environ 25 cm, composée d'uranium appauvri, sans explosif et à la vitesse initiale élevée (de l'ordre de1 500 mètres par seconde). Lors de l'impact son énergie cinétique est dissipée sur une surface d'environ 40 mm2, ce qui crée une pression énorme, ce qui participe à la pulvérisation du blindage en ménageant un trou.
Certaines bombes anti-bunker sont soupçonnées d'utiliser des pénétrateurs à uranium appauvri2.

Action eutectique et explosive [modifier]

Pendant l'impact, l'uranium s'échauffe et atteint sa température de fusion, qui est inférieure à celle de l'acier ; il crée avec le fer du blindage un eutectique, ce qui provoque la fusion du blindage et participe à la perforation, en projetant le métal liquide dans l'habitacle. Cela se propage dans la cible et tout ce qui est inflammable va s'enflammer voire exploser ; par ailleurs, l'uranium pulvérisé qui pénètre dans l'habitacle s'enflamme également, d'où l'explosion des chars de combat environ 5 secondes après l'impact.

Dispersion d'uranium [modifier]

Si l'uranium appauvri provenant de l'impact d'un pénétrateur de 4.85 kg (dont on suppose qu'il est volatilisé à 50%) est dispersé uniformément dans un rayon de 10 m du point d'impact, et pénètre le sol sur une profondeur de 10cm, il conduira au départ à une concentration d'approximativement 96 mg/kg. Cette teneur est supérieure à celle que l'on trouve en moyenne dans les sols naturels (de l'ordre de 2 mg/kg), mais peut se rencontrer dans certains sols, par exemple dans les poussières de la région d'Amman, en Jordanie.3
Les anomalies de concentration en uranium ne sont perceptibles que lorsque le métal est faiblement dispersé. Un volume de sol naturel dans un rayon de 20m et sur une profondeur de 80 cm (toujours à raison d'une moyenne de l'ordre de 2g/t) contient en moyenne une masse de 4 kg d'uranium, ce qui est l'ordre de grandeur typique d'une munition militaire : à ces niveaux de dilution, il ne peut plus y avoir de pollution au sens technique du terme, du fait que l'écosystème reste dans les limites de variation d'un mode de fonctionnement normal.
Les études disponibles suggèrent qu'il faut une durée de l'ordre de 100 à 1000 ans pour que les munitions ou les blindages en uranium appauvri se dégradent et soient dispersés chimiquement.3